Notebook / Archives / June 2004

J'aurais eu besoin de crème Nivea (ça me gratte)... zut!

• Scenes From A Memory (1999), une des oeuvres maîtresses de ce groupe, mais aussi l'une des oeuvres musicales les plus imposantes et techniques de la fin du XX^e siècle, un bijou de concept-album à posséder absolument, car il y a un avant “SFAM” et un après (8,99€) ;
• Train Of Thought (2003, le dernier en date), l'album le plus sombre du groupe, pour les amateurs de technique pure, où l'on peut cependant découvrir un James LaBrie en très grande forme mettant sa voix au service de textes très noirs (8,99€).

Update. J'aurais dû écouter mes propres conseils : ces disques sont à 8,98€ chez Amazon.fr, soit 1 centime d'euro de moins que sur Fnac.com (liens : SFAM et TOT).

Dans la nuit d'hier, en allant aux toilettes, j'ai trouvé un insecte de taille négligeable en train de patoger dans le trône. N'écoutant que mon coeur, je me suis empressé de tenter un sauvetage de fortune à l'aide d'une feuille de papier toilette. En effet, la pauvre création d'on ne sait quel dieu bougeait encore les pattes et les antennes : je n'allais quand même pas le laisser succomber aux Chutes de l'Urée...
Bref, j'ai réussi à l'extirper de son effroyable destin... pour un moment. Que faire alors ? Déjà réussir à le remettre sur ses pattes. Il semblait bouger. Super ! Que faire ensuite ? Grande question !
Nathalie aurait été à mes côtés, elle m'aurait sûrement conseillé de tenter un tryptique séchage/réanimation/carbonisation au sèche cheveux (on reconnaît là bien sa grande douceur). Je penchais plutôt pour le laisser retrouver tout seul son papa et sa maman, ou toute autre partie de sa famille recomposée (les divorces, chez les insectes, c'est toute une affaire, que je vous compterai une autre fois).
Et bien pour tout vous dire, cette histoire, ni vous ni moi n'en connaîtrons la fin, puisque je ne sais pas ce qu'est devenu ce petit insecte... Sûrement que quelqu'un est passé par là, l'a mis à la flotte et a tiré la chasse...

Même avec la réduction de la TVA que la Fnac.com effectue chaque année pour la fête de la musique, on est encore loin d'arriver aux prix pratiqués par Amazon.fr.

• Lacuna Coil in a Reverie : 18,42€ (Fnac) vs. 14,94€ (Amazon.fr), soit un écart de 3,48€ ;
• Tiamat Prey (limited first edition) : 20,71€ (Fnac) vs. 16,78€ (Amazon.fr), soit un écart de 3,93€.

Aujourd'hui ma mère a fait remarquer qu'il serait opportun ne mettre un panneau « interdit de stationner » à l'attention des oiseaux, en face de la maison.

Je suis dégoûté !! J'ai l'impression que j'ai perdu quelques euros là.
Avant hier je suis allé faire un tour à la Fnac Forum pour quelques achats en musique. J'aurais dû me rappeler que j'avais déjà remarqué qu'en dehors de « Le prix vert Fnac », mieux vaut ne rien acheter à la Fnac ou sur Fnac.com (sauf exceptions ou remises fidélités ou impossibilité de se procurer le produit ailleurs...). La preuve :

• Nightwish Once : 18,50€ (Fnac, « prix vert ») vs. en rupture chez Amazon.fr (?) ;
• Lacuna Coil in a Reverie : 20,89€ (Fnac) vs. 14,95€ (Amazon.fr), soit un écart de 5,94€ ;
• Tiamat Prey (limited first edition) : 23,48€ (Fnac) vs. 16,78€ (Amazon.fr), soit un écart de 6,70€.

« (...) un homme ne craignant pas le feu ne peut être qu’avec une femme sujette aux combustions spontanées (...) »

(critique de Hellboy sur dvdrama, l'auteur reprenant une métaphore employée dans une des scènes du film)

« On devrait créer des couloirs aériens pour oiseaux, tellement ils sont nombreux ! »

(Ma mère, dans sa journée « contrôleur aérien »)

« Le problème majeur – l'un des problèmes majeurs, car ce n'est pas le seul – l'un des nombreux donc, problèmes majeurs que soulève l'exercice du pouvoir est fonction de qui l'on trouve pour l'exercer ; ou plutôt, de qui s'arrange pour amener les gens à le laisser l'exercer sur eux.
En résumé, il est un fait patent, que ceux-là mêmes qui ont le plus envie de gouverner les gens sont, ipso facto, les moins aptes à le faire. Pour résumer le résumé : quiconque est capable de parvenir à se faire élire président ne devrait à aucun prix être laissé libre d'exercer cette fonction. Pour résumer le résumé du résumé : les gens sont un vrai souci.
Telle est donc la situation que nous trouvons : une longue théorie de présidents galactiques ravis de goûter les plaisirs et les pompes du pouvoir au point de bien rarement se rendre compte qu'en fait ils ne le possèdent pas.
Et quelque part, derrière eux, dans l'ombre – qui ?
Qui peut donc bien gouverner quand aucun de ceux qui en ont l'envie n'a la possibilité de le faire ? »

Douglas Adams, Le Guide Galactique, II - Le Dernier Restaurant avant la Fin du Monde
[page 174 (chapitre 28), Éditions Denoël (1982), collection Folio SF (2000)]

Je sais pas où elles sont parties, ou si elles ne sont pas encore revenues, mais les chauves-souris n'hantent pas encore mes nuits, alors que l'année dernière elles avaient lugubreusement égayé mes pérégrinations nocturnes (bon, en plus, c'est beau des chauves-souris en train de voler, si, si).
Et c'est bien là le problème. Car quand elles ne sont pas là, je me morfonds... euh non ça c'est une autre histoire. Non, sérieusement, leur absence est terrible !!! Qui va me bouffer ces merdeux de moustiques, hein, qui ça ? (je m'emporte, si un cht'tit moustique lit ce texte, il pourra oublier le qualificatif merdeux, et d'ailleurs : m'oublier tout court...).
Bref, vous devez avoir compris : chaleur, moustiques.
Mes nuits sont terribles !

« L'un des principaux arguments de vente de cet ouvrage en tout point remarquable qu'est le Guide du routard galactique, outre son prix relativement modéré et le fait qu'il porte la mention

en larges caractères amicaux sur sa couverture, c'est son glossaire à la fois complet et parfois exact. Les statistiques relatives à la nature géo-sociale de l'Univers, par exemple, sont adroitement insérées entre les pages neuf cent trente-huit mille trois cent vingt-quatre et neuf cent trente-huit mille trois cent vingt-six ; et le style excessivement simple avec lequel elles sont rédigées s'explique en partie par le fait que, tenus par les délais de fabrication, les éditeurs recopièrent cet ensemble d'informations sur le dos d'un paquet de flocons d'avoine, non sans avoir hâtivement entrelardé le tout de quelques notes, à seule fin d'éviter les poursuites sous le coup des incroyablement tortueuses Lois galactiques sur le droit d'auteur.
Notons toutefois avec intérêt qu'un rédacteur ultérieur et plus rusé que les autres réexpédia l'ouvrage dans le passé via une faille temporelle, ce qui lui permit de tranquillement poursuivre (avec succès) les fabricants de flocons d'avoine, pour infraction à ces mêmes lois.
A titre d'exemple, voici un extrait de ces statistiques :

L'Univers : quelques informations pour vous y faciliter la vie

1 Superficie : infinie.
Le Guide du routard galactique offre cette définition du mot « infini » :
Infini : plus grand que ce qu'on peut trouver de plus grand, et encore. Bien plus grand, même. Pour tout dire : vraiment incroyablement immense, d'une taille totalement ahurissante, en fait « putain de fois » mahousse. L'infinité est tout bonnement si énorme qu'en comparaison, l'énormité paraît franchement riquiqui. Gigantesque multiplié par colossal multiplié par vertigineusement vaste : tel est le genre de concept que nous essayons d'évoquer ici.

2 Importations : néant.
Il est impossible d'importer des objets dans un territoire infini, faute d'une zone extérieure d'où faire provenir les susdites importations.)

3 Exportations : néant.
(Voir Importations.)

4 Population : néant.
(On sait qu'il existe un nombre infini de mondes, tout simplement parce qu'il existe une quantité d'espace infinie pour les loger. Tous, parfois, ne sont pas habités. Par conséquent, il doit exister un nombre fini de mondes habités. Un nombre fini divisé par l'infini est si près de zéro que ça compte pour du beurre, si bien que la population moyenne de toutes les planètes de l'Univers peut donc être considérée comme égale à zéro. D'où il découle que la population totale de l'Univers est aussi égale à zéro et donc que tout individu que vous seriez susceptible de croiser de temps à autre ne saurait être que le fruit d'une imagination dérangée.)

5 Unité monétaire : néant.
En fait, trois monnaies librement convertibles ont régulièrement cours dans la Galaxie mais aucune vraiment ne compte : le dollar altaïrien s'est récemment effondré, le bouton de Q-Lôth de Pô ne s'échange que contre d'autres boutons de Q-Lôth de Pô, quant au pou-léphrite, il pose de son côté des problèmes bien spécifiques : certes, son cours actuel de neuf suhl-plats contre un pou-léphrite n'est en soi pas sorcier, mais comme le suhl-plat est une pièce triangulaire en caoutchouc de onze mille kilomètres d'arête, personne encore n'a pu en amasser suffisamment pour posséder un seul pou-léphrite. Les suhls-plats ne sont pas négociables, les Galactibanques refusant de manipuler des petites coupures. De l'ensemble de ces prémisses, on peut déduire aisément que les Galactibanques sont également le produit d'une imagination dérangée.

6 Art : néant.
(L'art a pour fonction d'être le miroir où se reflète la nature et aucun miroir n'est de taille suffisante, voir paragraphe 1.)

7 Sexe : néant.
Bon, pour dire vrai, il y a pas mal de sexe – essentiellement à cause de l'absence totale d'argent, de commerce, de banque, d'art et autres activités susceptibles de tenir occupés tous ces inexistants habitants de l'Univers. Inutile toutefois de s'embarquer dans une longue discussion sur ce sujet, tant il peut être effroyablement compliqué. Pour de plus amples informations, on se reportera de préférence aux chapitres sept, huit, dix, onze, quatorze, seize, dix-sept, dix-neuf, vingt et un, soixante-neuf et quatre-vingt-quatorze inclus du présent Guide – en fait, on pourra fructueusement consulter la majeure partie du reste de l'ouvrage. »

Douglas Adams, Le Guide Galactique, II - Le Dernier Restaurant avant la Fin du Monde
[pages 130-133 (chapitre 19), Éditions Denoël (1982), collection Folio SF (2000)]

Maintenant tu sais ce qu'est un gothique, et tu veux fréquenter ? Voici quelques pistes. Des bars, des discothèques, des fêtes, des lieux à visiter et des boutiques où t'habiller ? En voici en voilà...
Signalons tout d'abord la section mémo de D-Side Magazine.
Ensuite, le portail The Sanctuary :: The Gothic Communauty fournit une série de guides gothiques pour quelques grandes villes de notre vaste monde, et c'est ainsi que l'on peut se délecter du Goth Guide Paris.
Je terminerai par le site Iblililiu: Le portail Gothique, Underground, Vampires qui offrent régulièrement des informations sur les événements sombres, notamment en musique. J'en profite pour signaler Entretien avec un(e) Vampire : Anne Rice, un bref article sur les livres les plus connus d'Anne Rice.
Cette fois j'ai fait court, mais il est tard, l'heure de s'assombrir...

Mes péripéties m'ont fait passer par de nombreux sites, par de multiples définitions du gothisme. Ce qui me rassure, c'est qu'il semblerait que j'étais relativement proche de la réalité, mais je profiterai de cette adéquation de mon être au monde pour ne pas fournir de définition, pour une fois.
En tout cas la jeunesse me fait peur. Tout d'abord quand je lis le site FRANCE-JEUNES.NET : TOUTE L'ACTU PAR LES JEUNES! ; j'ai pourtant tenté d'ouvrir ma lecture à autre chose que les articles sur le gothismes... C'est écrit par des jeunes qui ne savent pas écrire et qui ont semble-t-il du mal à réfléchir, à poser les idées, à effectuer des recherches et croiser des informations (tiens, parfois ça ressemble à certains de mes élèves). Donc j'ai lu Le mouvement Gothique de nos jours... qui est plutôt bien foutu et soulève des idées très intéressantes, Savez-vous ce qu'est qu'un gothique ?, mauvais et qui y va un peu fort dans le noir comme réification de la tristesse (très enfantin), et enfin Gothique ? Pas gothique ? Qui est qui ?, embrouillé.
Ce qui m'effraie, c'est de voir ces jeunes balancer qu'ils refusent le conformisme, alors qu'ils se ressemblent tous au final, tous en noir. Pourquoi ne créent-ils par leur mouvememt, au moins ils seront uniques, genre : se coiffer d'un couvercle de poubelle jaune pour aller en soirée, etc. Bah non. Ils veulent être différents, mais tout de même avoir l'impression d'appartenir à quelque chose de plus grand, ne pas rester seul. Un article intitulé La mort dans l'âme (tiré d'un magazine canadien) est très intéressant à ce sujet et je trouve son analyse plutôt sensé : le côté ludique, la critique de la société, l'attrait pour l'éternité, faire peur à ses parents... les raisons de l'intérêt pour le gothisme peuvent être multiples chez les jeunes. Menfin l'article est un peu râté parfois, comme le passage sur la musique : « Avec son expression brute, le courant metal possède l'imagerie la plus violente. Ses adeptes recherchent ce qui symbolise la puissance du mal: les représentations du diable, les démons, les zombies, l'hémoglobine. Habillés comme les musiciens du groupe Sepultura, ses disciples sont souvent vêtus sans véritable recherche, favorisant le noir, le cuir et le latex. Leur période de prédilection est l'époque médiévale où l'on trouvait une certaine brutalité d'expression. ». Franchement, c'est de l'abus et du n'importe quoi !
Bref, pour trouver de l'information intéressante, mieux vaut s'en retourner vers ceux qui connaissant le mieux les gothiques : les gothiques eux-mêmes, surtout ceux qui savent écrire.
Pour commencer on peut citer Hellsanctuary (L'Empire de Baal / Les Cryptes de Cali) qui outre une mini-encyclopédie gothique tendance bestiaire très fournie, dispose d'une section sur le gothisme : In a Gothic Spirit. Continuons avec Cybergoth.org, qui propose entre autres l'accès à des mémoires de sociologie sur le sujet ; vraiment un site très complet, archivé mais qui continue sur NonSenZ ... vers une incompréhension du monde, sous une autre forme...
Citons aussi Anywhere out of the World qui offre une section mode intéressante (notamment la liste commentée de magasins vendant en ligne). D'ailleurs j'en profite pour signaler que le site Alchemy Gothic dont j'ai parlé hier dispose aussi d'un site Flash accessible ici.
Enfin, la presse papier fournit également beaucoup d'informations : D-Side Magazine et Elegy (seulement leur site web est mort, c'est le comble pour un magazine gothique...).
Et pour terminer, un peu d'humour : Devenir gothique : Le Guide ! sur Trauveler.net - Non ce c'est pas un site gothique ! (je reconnais, c'est parfois très scato, mais y'a deux/trois trucs sympas).

Amoureux du mascara et du liner, des cheveux noir-corbeau et des ongles ombrés, vous n'aurez plus besoin de traîner dans les soirées batcaves pour rencontrer de charmantes princesses de l'au-delà. En effet, depuis l'hiver 2002/2003 (et même avant), l'esthétisme pur est de retour, les jupons et dentelles noirs flottent au vent... L'ornementation corporelle se développe, les tatouages se font plus fins, la calligraphie à fleur de peau ne fait que prendre un nouveau départ ! Défilés après défilés, on voit timidement revenir les capes (je dis ça, mais ça fait un bout de temps – comprendre quelques années – que j'en cherche une correcte pour mon usage personnel), les chemises amples et/ou à jabot, ainsi que toutes sortes de dentelles – pour le corset, faudra attendre encore un peu, ses apparitions sont encore furtives.
Enfin bref : la démocratisation du style gothique, ce qui est plus ou moins une bonne chose. Le bon point, c'est que le gothique chic (le nom de cette évolution) pourrait remplacer avantageusement, ou du moins faire évoluer, le style gothique médiéval qui me semble poussiéreux : les robes de princesses, c'est un peu dépassé. Le mauvais point, c'est qu'on tend avec toute cette histoire à une uniformisation qui m'inquiète toujours un peu plus, jour après jour ; le style gothique est intriguant tant qu'il reste décalé, s'il se mélange au reste, ce reste en bénéficiera grandement, mais pas le mouvement originel...
Enfin bref, l'auteur du site Je suis gothique ! (je ne m'étale pas sur ce haut lieu zygomatique, j'y reviendrai lors d'une prochaine entrée) a eu la bonne idée de placer des scans d'un article d'un madame FIGARO, que je reproduis ci-dessous.

L'article est parfois un peu guignolesque, mais y'a des trucs utiles dedans. Par exemple, je ne connaissais pas les parfums Serge Lutens, comme Datura noir (moi qui adore les senteurs musquées) et Tubéreuse criminelle (on peut les trouver chez Sephora normalement). Aussi les créations d'Annette Messager (exhibition de 1995 au Muséum d'Art Moderne de New York), ou les bijoux de l'italienne Alex Nekki – va falloir que je tate de tout ça !
Je m'arrête là pour le moment, mais en bonus, voici une adresse de site pour s'équiper en ustensiles sombres : The Black Rose (distributeur entre autres de Alchemy Gothic). Ce magasin est situé au Royaume-Uni, et il vaut parfois mieux commander là-bas car les prix en France (sur Paris entre autre) sont très élevés. Dans une entrée future, je ralongerai énormément cette liste de fournisseur pour tout usage dantesque.

Cette semaine, la sérendipité était gothique.
Ca fait des mois que j'essaie de trouver un bon livre d'art (stylisme, architecture) sur le gothisme, et j'y arrive pas. Par contre, ça fait quelques temps que je cherche des bagues couvrant plusieurs doigts, et ça je commence à trouver.
C'est dingue ça la recherche d'informations! Pour pouvoir trouver des magasins français qui proposent ce genre de produits, il a fallu que je découvre des sites de piercing à l'étranger, qui font aussi bijouterie, puis passer par des sites de mode gothique eux aussi pas très locaux, avant de dénicher toutes les informations que je cherchais.
Bref, dans les jours/semaines qui viennent, je vais essayer de présenter un petit échantillon de ce que j'ai agréablement découvert ou redécouvert.
Il ne me reste plus qu'à trouver un bon bouquin sur les arts lugubres.

• remue.net : « A découvrir pour ceux qui ne connaissent pas encore, le site remue.net animé par l'écrivain François Bon... Pour tout savoir sur l'actualité littéraire contemporaine, biographie d'auteur, extraits, articles... Un site à ne pas manquer. »
• Gallica : « Avec le site Gallica, La Bibliothèque nationale de France met à disposition du public soit près de 70 000 ouvrages numérisés à consulter et à télécharger en ligne... Une véritable bibliothèque virtuelle donc, à consommer sans modération. »
• fabula - la recherche en littérature : « fabula.org Un site très intéressant pour les amateurs de littérature, étudiants, enseignants, chercheurs : des ressources et de très nombreux liens à découvrir. »
• Philagora - J'aime la communication : « Philagora.net : Nombreuses ressources en philosphie,littérature, sciences sur ce site qui s'adresse d'abord aux étudiants, mais aussi à un public plus large. »
• Aleph Littérature : « Développé par l'ENS, le moteur de recherche Aleph a été conçu pour faciliter les recherches liées au livre sur internet... Un outil très performant à ajouter à la liste de vos favoris. »
• The Perseus Digital Library : « Perseus digital library, propose de nombreux textes latins et grecs numérisés et traduits. Un site en anglais, mais d'un grand intérêt pour les amateurs de lettres classiques. »